L'invasion
L'invasion, le thème du WE. Non, je fais pas référence aux touristes, ces chers vacanciers qui roulent à 40 km/h sur la nationale, parce que la Bretagne oui c'est beau sous le soleil et que le champ en contrefort de la mer azur mérite bien une petite photo sans descendre de la voiture. Non encore, je ne fais pas référence à ma copine sportive qui me nargue chaque matin (le comique de répétition s'essoufle, je le sens).
Je fais référence aux puces et aux vieux*.
A priori, rien de bien commun. L'une sautille, se trouve être minuscule, et infeste mon chat comme mes chaises neuves, tandis que l'autre se traîne, bien en vue, dans mon jardin, furetant de-ci de-là, jetant un coup d'oeil au passage dans mon abri à bois, jusque chez ma voisine partie en WE.
A fortiori, la puce est bien plus nuisible. C'est la deuxième fois que je lave mon chat, et horreur ! Je n'avais pas vu qu'elles avaient pris d'assault les chaises que je n'avais pas pensé à traiter. Depuis lesquelles, ces s...aletés ont donc attaqué la turbulette de mon haricot qui séchait sur un dossier. Je ne vous raconte pas l'accès de rage dont j'ai été prise quand j'ai vu l'une d'elles se dandiner sur la turbulette (elle a crevé dans la seconde). J'ai attendu le chat de pied ferme et quand il est rentré le soir, il a eu droit à un deuxième bain avec cette fois un shampoing spécial éradication de nuisibles, les bestioles sautaient de son dos pour se noyer d'elles-même dans la flotte. Au premier bain il n'en avait qu'une, j'imagine qu'elle avait pondu... Pauvre minou, il tirait la tronche. Moi j'ai joué à la tornade, ça m'a fait les nerfs pour le evil fake mum's milk (mon côté over-protectrice qui se sentait mis à mal et voyait là une occasion de prouver sa bravoure).
A posteriori, la vieille qui se permet de trainer chez les gens me tape sur le système au plus au point. A son deuxième passage, j'ai ouvert la fenêtre et elle a fait genre je cherche votre voisine, ah il y a un chemin là-bas ? Ah bon, ah, je vais repartir par là alors... Elle m'a prise pour une courge. Elle connait tout et tout le monde ici. Mais la prochaine fois qu'elle traine ses guêtres chez moi, elle ne va pas en revenir. Ce matin, j'ai été sèche, certes, mais ce sera pire. J'ai bien l'intention de lui demander comment elle a été éduquée et si elle aimerait qu'on défile chez elle de la sorte.
Je n'ai pas construit à 25 bornes de Brest pour qu'on vienne regarder par ma fenêtre si je suis chez moi, au moment où je sors Babar ! Non mais oh ! C'est quoi cette histoire entre les vieux et mes babars ???
* Chères personnages âgées, si vous visitez ce blog, je suis prête à croire que vous n'avez rien de commun avec l'espèce décrite ci-dessus, et je vous prie de m'excuser pour mon léger manque de respect, qui ne devrait pas vous chagriner puisque vous ne vous sentez pas visées.
Je fais référence aux puces et aux vieux*.
A priori, rien de bien commun. L'une sautille, se trouve être minuscule, et infeste mon chat comme mes chaises neuves, tandis que l'autre se traîne, bien en vue, dans mon jardin, furetant de-ci de-là, jetant un coup d'oeil au passage dans mon abri à bois, jusque chez ma voisine partie en WE.
A fortiori, la puce est bien plus nuisible. C'est la deuxième fois que je lave mon chat, et horreur ! Je n'avais pas vu qu'elles avaient pris d'assault les chaises que je n'avais pas pensé à traiter. Depuis lesquelles, ces s...aletés ont donc attaqué la turbulette de mon haricot qui séchait sur un dossier. Je ne vous raconte pas l'accès de rage dont j'ai été prise quand j'ai vu l'une d'elles se dandiner sur la turbulette (elle a crevé dans la seconde). J'ai attendu le chat de pied ferme et quand il est rentré le soir, il a eu droit à un deuxième bain avec cette fois un shampoing spécial éradication de nuisibles, les bestioles sautaient de son dos pour se noyer d'elles-même dans la flotte. Au premier bain il n'en avait qu'une, j'imagine qu'elle avait pondu... Pauvre minou, il tirait la tronche. Moi j'ai joué à la tornade, ça m'a fait les nerfs pour le evil fake mum's milk (mon côté over-protectrice qui se sentait mis à mal et voyait là une occasion de prouver sa bravoure).
A posteriori, la vieille qui se permet de trainer chez les gens me tape sur le système au plus au point. A son deuxième passage, j'ai ouvert la fenêtre et elle a fait genre je cherche votre voisine, ah il y a un chemin là-bas ? Ah bon, ah, je vais repartir par là alors... Elle m'a prise pour une courge. Elle connait tout et tout le monde ici. Mais la prochaine fois qu'elle traine ses guêtres chez moi, elle ne va pas en revenir. Ce matin, j'ai été sèche, certes, mais ce sera pire. J'ai bien l'intention de lui demander comment elle a été éduquée et si elle aimerait qu'on défile chez elle de la sorte.
Je n'ai pas construit à 25 bornes de Brest pour qu'on vienne regarder par ma fenêtre si je suis chez moi, au moment où je sors Babar ! Non mais oh ! C'est quoi cette histoire entre les vieux et mes babars ???
* Chères personnages âgées, si vous visitez ce blog, je suis prête à croire que vous n'avez rien de commun avec l'espèce décrite ci-dessus, et je vous prie de m'excuser pour mon léger manque de respect, qui ne devrait pas vous chagriner puisque vous ne vous sentez pas visées.