Flipper, la baleine
Pauvre Nereij. En ce moment, il subit.
Je suis bavarde en temps normal, mais là, on peut dire que j'ai viré moulin à paroles et je crois bien que je le saoule. Je pourrais hypocritement prétendre que nous discutons. Mais ce n'est pas tout à fait le cas. Il m'écoute beaucoup (ce qui m'énerve des fois ; il pourrait faire l'effort d'être aussi survolté que moi, par solidarité).
De toute façon, si je ne bavarde pas, j'ai deux options : soit je râle (j'ai mal aux côtes, j'ai mal à ma cicatrice de grain de beauté, j'ai envie de pipi, on mange maintenant ou c'est pour demain ?), soit je le stresse.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai tendance à me cogner partout comme une (grosse) bille dans un flipper ces derniers temps. Par exemple, la nuit, je me prends les portes (de préférence dans ma cicatrice) ce qui me fait pousser des cris, ou je trébuche dans le couloir, ce qui me fait jurer à tout va... Il m'a suppliée d'allumer la lumière quand je me lève.
Et le WE dernier, j'ai fait 2-3 crises de panique (genre, hurlement en découvrant des grosses veines apparentes sur ma poitrine - j'ai cru que c'était une varice ou un truc dans le genre, mais non apparemment. C'est fou ce que mon corps change sans me prévenir. Ou alors c'était peut-être comme ça depuis un moment mais je n'avais pas fait attention. Je suis une dinde, y'a pas à dire, pour paraphraser Nereij.) Je me suis cognée aussi, très bêtement, mais hyper violemment. J'avais ordonné à smoke (le chat) de ne pas bouger de son hublot le temps d'aller prendre l'appareil photo (c'est pour mon autre blog) et tout en le menaçant, j'ai "râté" la sortie.
J'ai rebondi sur le montant de porte. C'est mon ventre qui a tout amorti... Pauvre Haricot. J'espère que je ne l'ai pas abîmé. Il bouge toujours, donc ça me rassure sur son état. Mais quand même... Je n'étais pas très fière. Et Nereij n'avait pas l'air très content que j'ai déjà commencé à maltraiter son fils.
Je suis bavarde en temps normal, mais là, on peut dire que j'ai viré moulin à paroles et je crois bien que je le saoule. Je pourrais hypocritement prétendre que nous discutons. Mais ce n'est pas tout à fait le cas. Il m'écoute beaucoup (ce qui m'énerve des fois ; il pourrait faire l'effort d'être aussi survolté que moi, par solidarité).
De toute façon, si je ne bavarde pas, j'ai deux options : soit je râle (j'ai mal aux côtes, j'ai mal à ma cicatrice de grain de beauté, j'ai envie de pipi, on mange maintenant ou c'est pour demain ?), soit je le stresse.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai tendance à me cogner partout comme une (grosse) bille dans un flipper ces derniers temps. Par exemple, la nuit, je me prends les portes (de préférence dans ma cicatrice) ce qui me fait pousser des cris, ou je trébuche dans le couloir, ce qui me fait jurer à tout va... Il m'a suppliée d'allumer la lumière quand je me lève.
Et le WE dernier, j'ai fait 2-3 crises de panique (genre, hurlement en découvrant des grosses veines apparentes sur ma poitrine - j'ai cru que c'était une varice ou un truc dans le genre, mais non apparemment. C'est fou ce que mon corps change sans me prévenir. Ou alors c'était peut-être comme ça depuis un moment mais je n'avais pas fait attention. Je suis une dinde, y'a pas à dire, pour paraphraser Nereij.) Je me suis cognée aussi, très bêtement, mais hyper violemment. J'avais ordonné à smoke (le chat) de ne pas bouger de son hublot le temps d'aller prendre l'appareil photo (c'est pour mon autre blog) et tout en le menaçant, j'ai "râté" la sortie.
J'ai rebondi sur le montant de porte. C'est mon ventre qui a tout amorti... Pauvre Haricot. J'espère que je ne l'ai pas abîmé. Il bouge toujours, donc ça me rassure sur son état. Mais quand même... Je n'étais pas très fière. Et Nereij n'avait pas l'air très content que j'ai déjà commencé à maltraiter son fils.